
L'ouvrage faisait déjà rire et pleurer. C'est une histoire sublime, poignante du début à la fin. Le film n'ote rien à cette émotion : il l'amplifie. Le jeu sur les cadrages, les lumières, les ombres, ajoutent de la vie à un dessin austère qui ne garde que l'essentiel. C'est la première fois que j'aime autant la pellicule que le papier. Les deux supports offrent quelque chose de différent : le livre donne plus de détails, le film des émotions plus fortes. Le livre donne envie de voir le film et le film donne envie de (re)lire le livre...
Franchement, j'espère que les scénaristes d'Hollywood obtiendront ce qu'ils veulent (et méritent à mon avis). Ce serait dommage que la grève gâche les Oscars. Parce que Persépolis l'aura, si la politique ne s'en mêle pas !
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