Vous savez que, côté cinéma, je suis un peu fleur bleue. Je suis plutôt bon public, j'aime les jolies histoires même quand elles sont un peu neuneu, un peu cliché. J'aime quand il y a un peu de provoc', quand ça mène quelque part. Un heureux événement est typiquement le genre de film qui me va bien.
J'ai lu le livre juste après la naissance de mon premier enfant. A ce moment-là, j'étais en colère d'avoir découvert certaines réalités de la maternité sans que personne ne m'aie prévenue. Forcément, le livre m'a fait du bien, je me suis sentie moins seule. Quand le film est sorti, j'ai tout de suite voulu aller le voir. Coup de chance, j'ai gagné des places grâce à Crêpe Georgette (merci encore, d'ailleurs !). J'ai donc réservé mon baby-sitter et emmené mon mari, toujours content de sortir de la maison, voir le film. J'ai même relu le bouquin la veille.
Etre parent, ou pas, c'est vivre un cheminement très personnel. On arrive devant ce film avec sa propre vision de la parentalité, avec sa propre expérience, ses propres aspirations. Et puis il y a le poids des clichés, les choses qu'on nous a appris à aimer voir, et les autres. Comment critiquer de manière objective un film qui touche à quelque chose d'aussi intime ?
On peut juger la technique cinématographique, la cohérence du scénario ou la qualité de l'adaptation, le jeu des acteurs. Ne connaissant rien à la technique, je passe mon tour. Le jeu des acteurs, en revanche, m'a conquise : on a beaucoup parlé de Louise Bourgoin, mais Pio Marmaï, Anaïs, Firmine Richard et Thierry Frémont offrent également une excellente prestation. J'ai été un peu déçue par Josiane Balasko dont la diction ne m'a pas parue naturelle, mais son regard en dit plus que sa voix.
J'ai lu le livre juste après la naissance de mon premier enfant. A ce moment-là, j'étais en colère d'avoir découvert certaines réalités de la maternité sans que personne ne m'aie prévenue. Forcément, le livre m'a fait du bien, je me suis sentie moins seule. Quand le film est sorti, j'ai tout de suite voulu aller le voir. Coup de chance, j'ai gagné des places grâce à Crêpe Georgette (merci encore, d'ailleurs !). J'ai donc réservé mon baby-sitter et emmené mon mari, toujours content de sortir de la maison, voir le film. J'ai même relu le bouquin la veille.
Etre parent, ou pas, c'est vivre un cheminement très personnel. On arrive devant ce film avec sa propre vision de la parentalité, avec sa propre expérience, ses propres aspirations. Et puis il y a le poids des clichés, les choses qu'on nous a appris à aimer voir, et les autres. Comment critiquer de manière objective un film qui touche à quelque chose d'aussi intime ?
On peut juger la technique cinématographique, la cohérence du scénario ou la qualité de l'adaptation, le jeu des acteurs. Ne connaissant rien à la technique, je passe mon tour. Le jeu des acteurs, en revanche, m'a conquise : on a beaucoup parlé de Louise Bourgoin, mais Pio Marmaï, Anaïs, Firmine Richard et Thierry Frémont offrent également une excellente prestation. J'ai été un peu déçue par Josiane Balasko dont la diction ne m'a pas parue naturelle, mais son regard en dit plus que sa voix.